ÉCONOMIE INDUSTRIE
AES Laboratoire - Akzo et Hoechst Roussel Vet - Amgen - Anios - Arkopharma - AstraZeneca - Aventis - Bayer - BioMérieux - Biotrial - Cerep - Chauvin et Bausch&Lomb - CREAPHARM - Genset et Celera - Glaxo Smithkline - Hartmann - Hoechst Marion Roussel et Pfizer - Innothera - LVL Médical et D'Médica - Merck - Merck-Lipha - Merial - Novartis - Novasep - Novo-Nordisk - Orion Pharma SA - Pfizer - Pharmygiène médipole et Omega Pharma - Pierre Fabre et BioMérieux - Rhodia - Roche-Posay - SanofiSynthelabo Porges et Mentor Corporation - SNPE - Transgene - URGO
La société AES Laboratoire spécialisée dans les
analyses microbiologiques et la production d'automates de laboratoires, a répondu
à l'appel d'offre de la Direction Générale de l'Alimentation (DGAL) du
ministère de l'Agriculture pour la fourniture de 57000 tests de dépistage de
l'Encéphalopathie Spongiforme Bovine (ESB) effectué sur les animaux abattus
en urgence et sur les animaux livrés à l'équarrissage. Le Prionics-check
(test western-blott effectué à partir de la cervelle d'animaux abattus) a
été mis au point par la société suisse Prionics et développé par la
société française AES laboratoire. Reste que ce test est en concurrence
avec le test mis au point par le Commissariat à l'Energie Atomique (CEA) et
commercialisé par la société américaine Bio-Rad qui a racheté
Sanofi-Pasteur Diagnostics en 1999) et un test mis au point par une société
irlandaise Enfer. En fait AES laboratoire ne se fait pas de souci pour l'issu
de l'appel d'offre car le marché devrait également s'ouvrir en direction du
secteur privé (industrie agro-alimentaire, grands-magasins...) et ainsi
offrir facilement des débouchés aux trois sociétés. AES Laboratoire a
ainsi prévu d'investir 610000 euros pour agrandir ses locaux de Combourg au
nord de l'Ille-et-Vilaine et 1 millions d'euros supplémentaires pour
installer son siège social et son département de recherche et développement
à Rennes. AES vient d'ouvrir un département spécialement dédiés aux
tests vétérinaires et a pris une participation de 34% dans une
start-up Adiagen basée à Saint-Brieuc créée par deux anciens chercheurs de
l'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (AFFSSA). D'après un article
de Jean-Luc POUSSSIER du quotidien La Tribune N°24.465-1.889 du Lundi 17
Avril 2000, à lire à la page 32..
Euphorie chez AES, la société a été la seule choisie pour fournir les
tests de dépistage de
l'Encéphalopathie Spongiforme Bovine (ESB) demandés Direction Générale de l'Alimentation (DGAL) du
ministère de l'Agriculture. Des représentants des agriculteurs français ont
à cette occasion demandé à la France de profiter de son accession à la
présidence de l'Union Européenne pour obliger les autres pays européens à
engager également des tests sur leurs cheptels bovins. Pour enfoncer le clou,
la revue britannique New Scientist a relaté les propos de conseillers
scientifiques de la Commission Européenne qui auraient estimé que des troupeaux
bovins d'Allemagne, d'Italie et d'Espagne seraient également contaminés par
la maladie de la vache folle. De plus six autres pays européens et le
Canada, l'Australie et les Etats-Unis pourraient être touchés par
cette affection. D'après un article du quotidien La Tribune N°24.465-1.923 du
jeudi 8 Juin 2000, à lire à la page 8.
AKZO NOBEL rachète HOECHST ROUSSEL VET
Akzo Nobel a annoncé dans la foulée de ses résultats pour le
premier semestre 1999, le rachat à Hoechst de Hoechst Roussel Vet. Hoechst devait se
séparer de cette branche à l'occasion de sa fusion au sein d'Aventis avec
Rhône-Poulenc. La société néerlandaise Akzo spécialisée dans la chimie, va
rapprocher cette Hoechst Roussel Vet de sa propre filiale vétérinaire Intervet afin de
former un des leader mondiaux de la spécialité. La nouvelle entité formée qui aura une
assise mondiale avec 50% des ventes en Europe et Afrique, 45% en Amérique et 5% en Asie,
possèdera des fortes position dans le domaine des vaccins pour animaux, les
antiparasitaires et les anti-infectieux pour animaux d'élevage et de compagnie. Une
information de M. C.-C. à lire dans le quotidien La Tribune n°24.465-1.716 du Jeudi 12
Août 1999 à la page 10.
Vendredi 26 novembre 1999, Akzo Nobel, groupe
chimique néerlando-suédois, a finalisé l'acquisition de Hoechst Roussel Vet
issue de Hoechst pour 655 millions d'euros. Intervet, filiale vétérinaire d'Akzo
Nobel accède ainsi à la quatrième place dans l'industrie vétérinaire avec
un chiffre d'affaire de 800 millions d'euros. Sont concernés dans le rachat,
les secteurs de la production, marketing, recherche et développement et les
2400 salariés de Hoechst Roussel Vet. 50% des ventes de Hoechst Roussel Vet
sont réalisées en Europe et Afrique, 45% sur le continent américain et 5%
en Asie. Une
information à lire dans le quotidien La Tribune n°24.465-1.790 du Mardi 30
Novembre 1999 à la page 14.
Gordon BINDER, a annoncé qu'il allait quitté ses fonctions de PDG d'Amgen après le 11 mai 2000 et quitter le conseil d'administration d'ici au 31 décembre 2000. C'est Kevin SHARER, actuel numéro 2 qui devrait prendre sa succession. Arrivé en 1982, en qualité de directeur financier, Gordon BINDER, a connu le lancement des deux produits phares d'Amgen EPOGEN® ( Erythropoïétine ou EPO) destiné à combattre l'anémie des insuffisants rénaux chroniques et NEUPOGEN® utilisé comme traitement d'appoint des patients en chimiothérapie et des malades du SIDA. Une information à lire dans le quotidien La Tribune n°24.465-1.797 du Jeudi 9 Décembre 1999 à la page 13.
Basé à Lille-Hellesmes, les laboratoires pharmaceutiques Anios qui emploient 150 personnes ont décidé d'implanter leur plate forme logistique nationale à Sainghin-en-Mélantois. Cette annonce fait suite au rachat du site textile de Pollet àSainghin-en-Mélantois. Anios va conserver un des bâtiments existant et construire un autre de 6000 mètres carrés. Avec un chiffre d'affaire mensuel de 300 millions de francs en 1999, Anios va disposer sur cette nouvelle plate-forme de 6500 emplacements de palettes et 10 portes à quai destinés à gérer 65000 expéditions annuelles soit 17000 tonnes de marchandises. Une information à lire dans le quotidien La Tribune n°24.465-1.925 du Mardi 13 Juin 2000 à la page 33.
La société Arkopharma, leader européen de la phytothérapie, avec un chiffre d'affaire de 137,2 millions d'euros et 1040 salariés, va moderniser son usine de Nice-Carros. L'investissement de 18,3 millions d'euros va consister notamment à l'équiper d'un système de rationalisation des systèmes informatiques et construire un bâtiment permettant de stocker la production. L'accord de passage aux 35 heures intervenu début décembre va permettre l'embauche de 40 salariés. Arkopharma qui a racheté une filiale de production aux Etats-Unis au début 1999, envisage désormais de renforcer sa place sur le marché allemand. Une information à lire dans le quotidien La Tribune n°24.465-1.800 du Mardi 14 Décembre 1999 à la page 15.
Le nouveau groupe AstraZeneca aurait donné son aval, avant même sa naissance officielle au printemps 1999, pour un investissement sur son site de Dunkerque (Nord). Le laboratoire aurait décidé d'investir 107 millions d'euros selon l'agence de développement Dunkerque Promotion. Destiné à produire un nouvel anti-ulcéreux le Perprazole en remplacement du Losec, et des corticoïdes pour le traitement des maladies respiratoires, le site devrait passer de 300 postes actuellement à 450 postes à l'horizon 2002. Une information à lire dans le quotidien La Tribune n°24.465-1.737 du Vendredi 10 septembre 1999 à la page 31.
Les dirigeants d'Aventis ont annoncé
les plans de rationalisation pour le secteur de la
Pharmacie. Outre-atlantique le siège social américain, le centre de
développement, et les services commerciaux actuels de Hoechst seront
transféré dans les environs de Briggewater (New- Jersey). Le siège de
Rhône-Poulenc à Collegeville (Pennsylvanie) est donc voué à la fermeture,
de même que le siège de Hoechst à Kansas City (Missouri) dont une partie du
personnel sera transféré. En Europe, le groupe a décidé de conserver le
centre de Vitry (Val-de-Marne) de Rhône-Poulenc, employant 1500 personnes,
comme plate-forme de recherche en cancérologie, anti-infectieux et maladies
neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson). Deux autres centres de recherche
seront situés à Francfort (cardiovasculaire, métabolisme, ostéoarthrite)
et Bridgewater (Immunologie, maladies respiratoires, arthrite rhumatoïde,
maladie du système nerveux central). Antony (Hauts-de-Seine), Bridgewater et
Tokyo auront le rôle de centres de développement. Les équipes de Montrouge
(Rhône-Poulenc) et de la Défense (Hoechst) seront vraisemblablement
regroupés sur un nouveau site à Bercy. Par contre, Aventis abandonne le site
de recherche Romainville (Hoechst) spécialisé dans les maladies osseuses et les
anti-infectieux; les américains Dupont, Procter et le français Pierre Fabre
seraient intéressés par la reprise de ce site.
D'après un article de F.B. à lire dans le quotidien La Tribune N°24.465-1.761 du
Lundi 18 Octobre 1999, à la page 14.
Jean-René FOURTOU
a promis qu'il n'y aurait pas de licenciement contraints en France et en
Allemagne, même si des mesures d'âge, de volontariat et de transferts seront
favorisés. Concernant la production industrielle de Romainville employant
environ 700 personnes a pour vocation à rester dans Aventis.
D'après un articles de Florence BAUCHARD et P. Mo. à lire dans le quotidien La Tribune
N°24.465-1.768 du Mercredi 27 Octobre 1999, à la page 10.
Dépassé par
le succès de son anti-cancéreux, Rhone-Poulenc Rorer a fait un appel d'offre
international pour augmenter la capacité de production du TAXOTERE®. Et
c'est le laboratoire pharmaceutique Pierre Fabre qui a remporté l'appel
d'offre. Pierre Fabre produit déjà un anticancéreux le NAVELBINE® qui
présente l'avantage d'avoir une technologie et une production relativement
proche. Le groupe castrais a d'ailleurs annoncé un programme d'investissement
de 50 millions de francs pour doubler sa capacité de production
d'anticancéreux à Pau. L'unité béarnaise sera chargée de la répartition
en flacons et du contrôle de qualité du produit. Le conditionnement
continuera à être assuré à Dagenham en Grande-Bretagne, principal site de
production du TAXOTERE®. Le partenariat avec le groupe Pierre Fabre ne se
limite pas au façonnage mais également aux recherches en chimiothérapie
combinant TAXOTERE® et NAVELBINE®. TAXOTERE® devrait d'ailleurs voir ses
indications élargies (prostate, estomac, tête, cou) au cours des quatre
prochaines années.
D'après un article de Florence BAUCHARD à lire dans le quotidien La Tribune
N°24.465-1.794 du Lundi 6 Décembre 1999, à la page 15.
Concernant le site de Romainville, Aventis va conserver une partie des
activité du site mais le lot cédé devrait comprendre selon le schéma
initial non seulement un outil de recherches, spécialisé dans les
anti-infectieux et les maladies osseuses, des produits de Rhône-poulenc et
Hoechst. Parmi la demi-douzaine de repreneurs sur les rangs figure en bonne
place Pierre Fabre dont le candidature serait soutenue par Jean-rené FOURTOU
et la société américaine DuPont soutenue les chercheurs du site de Hoechst
Marion Roussel (HMR). En fait l'affaire pourrait être bouclée au début de
l'année 2000, générant une belle plus value pour Aventis. Toutefois la
configuration définitive de ce qui sera vendu par Aventis dépend en fait de
l'identité du repreneur.
D'après un article de Florence BAUCHARD à lire dans le quotidien La Tribune
N°24.465-1.801 du Mercredi 15 Décembre 1999, à la page 2.
Le groupe attend une AMM européenne dans les prochaines semaines
pour la commercialisation d'une nouvelle génération d'antidiabétique à
effet retard, dont la posologie se limite à une seule injection par jour.
Aventis a annoncé un investissement de 150 millions de francs pour la
production de ce médicament. Troisième site spécialisé dans les produits
à base d'insuline à Francfort, il complètera celui déjà existant et un
autre en construction en coopération avec Pfizer pour la production d'une
insuline inhalée. D'après un article du quotidien La Tribune
N°24.465-1.895 du jeudi 26 Avril 2000, à la page 15.
Le Pdg de Bayer, Manfred SCHNEIDER, a annoncé vouloir fermer 4 à 5
sites de production à travers le monde sur les trois prochaines années afin de générer
une économie de 360 millions d'euros. Ces mesures devraient concerner directement des
sites européens, et certaines activités des sites allemands seraient regroupées. Bayer
désire également construire une usine spécialisée dans les techniques génétiques. Un
article à lire dans le quotidien La Tribune N°24.465-1.644 du Jeudi 29 Avril 1999, à la
page 14.
Bayer Diagnostics a envoyé fin mai une lettre aux directeurs de LABM
pour leur annoncer la fusion de Bayer Diagnostics et de Chiron Diagnostics. Née
officiellement le 30 avril 1999, la Société qui reprend le nom de Bayer Diagnostics,
issue des deux sociétés, a annoncé avoir atteint avec succès ses objectifs
préalablement fixés à savoir <<additionner les caractères positifs de deux
sociétés, conserver toutes les compétences reconnues, garantir la plus complète
transparence aux clients respectifs>>. La nouvelle société compte s'appuyer sur
son <<dynamisme, sa gamme de produits innovants et son sens du service à la
clientèle>>.
Bayer Élastomères a annoncé un
investissement de 30,49 millions d'euros sur son site de La Wantzenau en
Alsace afin d'augmenter sa capacité de production de caoutchouc nitrile à destination
du marché européen. La capacité de l'usine doit être portée à 150.000
tonnes d'ici 2002. Un article à lire dans le quotidien La Tribune
N°24.465-1.678 du Vendredi 12 novembre 1999, à la page 14.
Le géant allemand Bayer pourrait être intéressé par la filiale
agrochimique d'Aventis Cropscience, ou par d'autres actifs d'Aventis Cropscience. Bayer
est visiblement à la recherche d'acquisitions. D'après un article du quotidien La
Tribune N°24.465-2.035 du Vendredi 17 Novembre 2000, à lire à la page 16.
Le laboratoire français BioMérieux vient de connaître un nouveau succès au Japon qui devrait lui permettre de percer définitivement sur ce marché. En effet dès 1996, les chercheurs de BioMérieux avaient découvert au Japon une bactérie O-157 à l'origine de 10000 victimes dont 7 morts. Cette fois-ci BioMerieux Japan vient de découvrir un staphylocoque doré à l'origine d'une intoxication de 14000 victimes qui avaient bu un lait contaminé. Par cette découverte, le laboratoire va ainsi fournir les tests microbiologiques aux 21 usines du groupe alimentaire touché par cette contamination. Depuis cette toute nouvelle découverte, toute l'industrie alimentaire japonaise se tourne vers Bio-Mérieux. Le président de BioMérieux Japan, Frédéric BENODIEL, a réussi depuis 1989 à conquérir de nombreux marchés asiatiques où le groupe compte s'investir plus en avant. Un article de Régis ARNAUD à lire dans le quotidien La Tribune N°24.465-1.967 du Vendredi 11 Août 2000, à la page 9.
La société indépendante de recherche et de développement Biotrial, spécialisées dans les études de phase I, figure parmi les cinq premières sociétés européennes dans ce segment de prestation qui comprend l'expérimentation sur des patients. Crée par un pharmacien rennais, la société a su se bâtir une très bonne réputation parmi les grands groupes pharmaceutiques internationaux. Elle emploie notamment des scientifiques, des médecins, des pharmaciens et des infirmières s'occupant des patients quand ils testent les médicaments. Installée sur le technopole Rennes Atlantes Villejean à proximité du Centre hospitalier Universitaire, dans 2000 m2 de locaux dont une partie clinique de 30 lits, Biotrial s'apprête à construire 2600m2 supplémentaires et à embaucher une centaine de personnes en trois ans pour poursuivre son développement face à des clients qui fusionnent, tout comme ses concurrents. Biotrial mise cette année sur un chiffre d'affaire de 6,1 millions d'euros et une marge nette de 10 à 14%. Un article de Jean-Luc POUSSIER à lire dans le quotidien La Tribune N°24.465-1.744 du Mardi 21 septembre 1999, à la page 25.
La société de recherche pharmaceutique Cerep, basée en France et aux Etats-Unis, vient de conclure des nouveaux accords de partenariat avec quatre laboratoires pharmaceutiques européens. Parmi ces partenaires figurent les laboratoires FOURNIER en France, Grünenthal en Allemagne, et Zambon en italie. Ce basant sur les recherches en cours de laboratoires pharmaceutiques partenaires, Cerep avec ses qualités d'expertises en chimie, biologie et informatique, met au point de nouvelles molécules fortement susceptibles de devenir des médicaments. Cerep connaît une phase de reconnaissance croissante de la part de l'ensemble des laboratoires pharmaceutiques tant nationaux qu'internationaux. D'après un article à lire dans le quotidien La Tribune N°24.465-2.073 du Vendredi 12 Janvier 2001,, à lire à la page 10. Vous trouverez également des informations sur Cerep sur les sites Firstinvest.com et Selectbourse.com.
Le Laboratoire Chauvin va être racheté à 100% par le laboratoire américain Bausch&Lomb. Ne pouvant assurer seul le développement européen et les efforts de recherche, l'actuel PDG Bernard CHAUVIN a préféré vendre le laboratoire familial a un laboratoire américain en mal de réseau de distribution en Europe. Les deux laboratoires ont comme point commun d'être spécialisé dans l'ophtalmologie. Implanté essentiellement en Allemagne, Bausch&Lomb trouve grâce au Laboratoire CHAUVIN un solide pied à terre en France et également en Angleterre. CHAUVIN avait également percé en Allemagne par l'intermédiaire notamment du rachat de Hankerpharma. CHAUVIN emploie environ 800 personnes et possède 5 usines dont deux sont situées à l'étranger. Les salariés de CHAUVIN seraient toutefois inquiets pour leur avenir, les produits de Bausch&Lomb ayant de fortes similarités avec ceux du Laboratoire CHAUVIN. D'après un article de Florence BAUCHARD avec Franck-Léopold ERSTEIN du quotidien La Tribune N°24.465-1.954 du Mardi 25 Juillet 2000, à lire à la page 15.
PCAS, groupe de chimie international, vient de céder au groupe UNITHER les 50% du capital détenu dans le groupe CREAPHARM,. En plus de ses deux sites à Amiens et Coutances UNITHER, va ainsi élargir son implantation avec les sites de CREAPHARM à Gannat et Bessay dans l'Allier et d'une filiale bordelaise. D'après un article de P.J. de la revue le Quotidien du Pharmacien du Jeudi 15 décembre 2005 N°2362 à lire plus en avant à la page 3.
Genset a conclu un contrat d'abonnement de plusieurs années avec la société Celera. Cet accord va permettre aux chercheurs de Genset d'utiliser la base de données, les outils bio-informatiques de Celera. Cette nouvelle a été diversement interprété, rien que par le fait que Genset était jusqu'à présent en concurrence avec Celera. Aveu de faiblesse ou au contraire opportunité offerte aux chercheurs de Genset pour accélérer leurs recherches? D'après un article à lire sur le site Firsinvest.com daté du 12/01/2001.
Les deux géants britanniques pharmaceutiques galoxo Wellcome et Smithkline Beecham ont
annoncé leur fusion effective le 27 décembre 2000 pour donner naissance à
GlaxoSmithkline symbolisé par gsk.
La fusion entre les deux groupes pharmaceutiques vient de donner naissance au nouveau
numéro un mondial du secteur.
La naissance de la filiale commune française ne sera effective que dans
quelques mois pour des raisons législatives et sociales propre à la
France. Les réprésentants du personnel ont pu découvrir le détail de la fusion jeudi et vendredi
18 et 19 janvier 2001. Les sites de production du nouveau groupe situés à Evreux dans l'Eure, Hérouville
dans le Calvado et Mayenne en Mayenne, de même que les activités de développement
pharmaceutiques ne devraient pas être affectées par la réorganisation. Certains salariés
pourraient toutefois être sujets à un transfert d'activité. Le secteur administratif sera lui
affecté par des suppressions de postes en doublons. Mais, 192 postes essentiellement visiteurs médicaux pourraient
être créés. L'activité de recherche de Smithkline Beecham à Saint-Grégoire près de Rennes
et aux Ulis de Glaxo-wellcome seraient sujets à regroupement aux Ulis. Les sièges sociaux
de Nanterre de Smithkline Beecham et à Marly-le-Roi de Glaxo-wellcome
seront regroupés à Marly-le-Roi. D'après un article du quotidien La Tribune
N°24.465-2.075 du mardi 16 janvier 2001, à la page 14.
La société Paul HARTMANN vient d'embaucher 40 personnes pour accompagner l'accélération de sa croissance en 1999. Basée à Châtenois dans le Bas-Rhin, l'enrtreprise devrait réaliser en 1999 un chiffre d'affaire de 167,7 millions d'euros, soit une augmentation de 10% pour une rentabilité nette de plus de 3%. La stagnation du marché hospitalier a été compensée par le lancement en pharmacie de produits innovants comme les set de perfusion. L'accord sur les 35 heures en septembre prévoyait l'embauche de 40 personnes en seize mois. En outre, 20 postes supplémentaires seront créés l'année prochaine dans les deux sites de production de Liepvre et sainte-Marie-aux-Mines dans le haut-Rhin. D'après un article du quotidien La Tribune N°24.465-1.802 du Jeudi 16 Décembre 1999, à la page 25.
HOECHST MARION ROUSSEL et PFIZER
Les deux sociétés pharmaceutiques vont construire
conjointement la plus grosse usine au monde pour la production
d'insuline. L'investissement va revenir à 155 millions d'euros. Parallèlement
l'insuline à inhaler serait en phase de tests préalables avant sa commercialisation.
D'après un article du quotidien La Tribune N°24.465-1.687 du Jeudi 1 juillet 1999, à la
page 14.
Hoechst Marion Roussel avec des scientifiques français du
service public (CEA, CNRS, Inserm...) ont dressé un bilan positif, de deux ans de
coopération sous la forme d'un Groupement d'Intérêt Public (GIP). 24,3 millions d'euros
ont été investis sur les 33,5 millions d'euros prévus dans 62 programmes scientifiques
notamment sur la fonction des gènes avec le financement d'équipements (spectromètres de
masses, animalerie,...) et le renforcement de plates-formes technologiques
sélectionnées. Et sur les 62 projets, 22 sont communs à HMR et aux organismes publics
avec des retombées pour les deux parties s'ils débouchent sur des médicaments.
Les pouvoirs publics espèrent que ce type de structure servira de cas d'école pour aider
la recherche française à changer d'échelle et rattraper son retard sur l'après
génome. D'après un article du quotidien La Tribune N°24.465-1.693 du Vendredi 9 et 10
juillet 1999, à la page 13.
Le Laboratoire français Innothera a inauguré vendredi 3 septembre, son usine à Nomexy (Vosges) spécialisée dans la production de bas de contention. L'entreprise familiale opère son développement sans avoir recours aux marchés financiers et consacre chaque année 10 à 15% de son chiffre d'affaires à la recherche et au développement. Le site de Nomexy devrait produire 1,2 millions de pairs par an et servir de tremplin à la poursuite des recherches du laboratoire. Nomexy qui compte déjà 70 salariés devrait atteindre l'objectif de 120 salariés l'an prochain. Spécialisée en grande partie dans les maladies veineuses, Innothera produit ses médicaments anxiolytiques légers, contraceptifs et phlébotoniques par exemple DIOVENOR®, dans ses usines de Blois (Loir-et-Cher) et en Irlande; ses bas de contentions sont produits à Sainte-Blaise et Nomexy. Le siège social et le laboratoire de recherche devraient être transférés d'ici 2002 d'Arcueil à Verrière-le-Buisson (Essone). D'après un article de S.B.du quotidien La Tribune N°24.465-1.734 du Mardi 7 septembre 1999, à lire à la page 20.
La société LVL médical détenant plus de 13% du marché de l'hospitalisation à domicile en France, vient de racheter D'Médica. D'Médica, qui était une filiale du groupe Pierre Fabre, est implantée en Bretagne, Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon, et Ile-de-France à travers 13 structures. Spécialisée dans l'assistance respiratoire à domicile, la perfusion à domicile, et le maintien à domicile D'Médica emploie 126 personnes et est bien implantée dans les officines. Cette acquisition devrait donc permettre à LVL Médical d'accéder au marché du maintien à domicile officinal, secteur où il était jusqu'à présent absent. Dans cet optique, LVL Médical va donc développer des synergies entre les deux réseaux et développer ainsi un secteur pharmaceutique au plan national sous le nom de marque D'Médica. D'après un article de A.N. à la page 4 dans la revue le Quotidien du Pharmacien N°1842 du Lundi 22 Novembre 1999.
Le groupe américain MERCK prévoit de supprimer 7000 emplois d'ici la fin de l'année 2008 dans le monde, soit environ 11% de ses effectifs. Un sixième de ses sites de production devraient être fermés ou vendus. Merck espère ainsi pouvoir réaliser plusieurs milliards de dollars d'économies. 30 Novembre 2005.
Merck-Lipha filiale française du groupe pharmaceutique allemand Merck va étendre son siège Lyonnais d'ici 2001. Prévus notamment pour accueillir les nouveaux salariés du groupe recrutés à l'occasion du passage au 35 heures, les travaux d'extension évalués à 62 millions de francs vont offrir au siège 210 bureaux supplémentaires. D'après un article du quotidien La Tribune N°24.465-1.847 du Jeudi 17 Février 2000 à la page 14.
Issue en 1997 de la fusion des départements vétérinaires de Rhône-Poulenc et vétérinaires de Merck, Merial, numéro un mondial dans la santé animale, investit sur le Web. Basée en Angleterre, Merial a décidé d'entrer à hauteur de 5% dans le capital d'Aniwa moyennant 2,7 millions d'euros d'investissement dans le développement du site Internet Aniwa.com. Ce site animalier a obtenu 10 millions d'euros d'investissement et ne devrait atteindre l'équilibre qu'en 2003. Les recettes proviendront de la publicité, la vente de contenus éditoriaux, et indirectement du e-commerce en renvoyant les internautes vers des sites spécialisés. D'après un article du quotidien La Tribune N°24.465-2.066 du Mercredi 3 Janvier 2000 à la page 11.
Les groupes pharmaceutiques Novartis a inauguré en présence du ministre de la Santé Xavier Bertrand et du président du groupe helvétique Daniel Valsella le nouveau centre de biotechnologie à Huninge dans le Haut-Rhin. Avec sa surface de 13000m² et un investissement de 150 millions d'euros, le site déjà opérationnel pour la production de l'Omalizumab (Xolair®) permettra le développement de médicaments innovants à venir. D'après un article à lire plus en avant dans le Quotidien du Pharmacien N°2359 du Lundi 5 décembre 2005 à la page 4.
La société pharmaceutique Novasep, spécialisée dans la séparation des molécules pour les industriels pharmaceutiques va engager un investissement de 4 à 5 millions d'euros pour regrouper ses activités de production à Pompey en Meurthe-et-Moselle. L'entreprise dispose actuellement de trois sites à Vandoeuvre, Heillecourt, et Champigneulles. Crée en 1995, Novasep qui emploie 70 personnes pour un chiffre d'affaire de 21 millions d'euros et réalise 90% de son chiffre d'affaire à l'export. Ce regroupement des sites de production va permettre à la société de disposer d'une réserve foncière suffisante pour développer ses activités de sous-traitance pour les grands groupes pharmaceutiques. D'après un article du quotidien La Tribune N°24.465-1.809 du Lundi 27 Décembre 1999, à la page 17.
La société pharmaceutique et de biotechnologie danoise Novo Nordisk, a inauguré le 15 octobre sa nouvelle usine d'insuline à Chartres (Eure-et-Loir) qui constitue l'un de ses trois sites de production de ce type de médicaments. Novo Nordisk, qui était en fait déjà présent à Chartres depuis 1960, a décidé en 1996 d'investir 500 millions de francs POUR DOUBLER LA CAPACIT2 DE Chartres et produire des cartouches de 3ml. Premier producteur mondial en volume d'insuline, Novo Nordisk veut accompagner le marché en plein essor des stylos injecteurs d'insuline avec le remplacement progressif du format actuel de 1,5ml par celui de 3ml. Les nouvelles cartouches issues de l'usine seront livrées au début du printemps. Chartres qui exporte déjà 80% de sa production vers l'Europe, l'Afrique , devrait doubler le nombre de destinations qu'il livre. L'effectif de 215 personnes actuellement devrait augmenter de 200 personnes d'ici trois ans. Les sites au Danemark et aux États-Unis vont également voir leur capacité augmenter. D'après un article du quotidien La Tribune N°24.465-1.761 du Lundi 18 Octobre 1999, à la page 16.
Le groupe pharmaceutique Orion, première entreprise de santé en Finlande avec 5517 employés, possède plusieurs divisions Orion Pharma (Laboratoire industriel pharmaceutique) et Orion Diagnostica (proposant des solutions diagnostiques pour l'hôpital et les laboratoires privés), Oriola (Entreprise de distribution), Noiro (spécialiste des produits d'hygiène et de cosmétique). Orion réalise actuellement 64% de ses ventes en Finlande, 26% dans l'Europe et 6% en Amérique du Nord. Le groupe désire développer ses branches Orion Pharma et Orion Diagnostica en Europe. Orion Pharma, spécialisé notamment dans les médicaments du système nerveux central, la ménopause, la cardiologie, le respiratoire, occupe 20% du marché pharmaceutique finlandais et 70% des bénéfices du groupe. Orion Pharma France s'est installé dans l'hexagone en 1999 avec comme président directeur général Hannu WENNONEN et comme directeur général François-Xavier BEGUIN. Orion Pharma France qui est la huitième filiale européenne a pour ambition de d'accéder au trio de tête des filiales dans les 5 ans. Orion Pharma France qui compte déjà 43 personnes, prévoit d'employer 500 employés à l'horizon 2003. Orion Pharma avait développé en France jusqu'ici une politique de licence de ses produits avec DEPRENYL® (Sélégiline) avec Shering-Plough, DIVINA® avec Innothéra, COMTAN® (Entacapone) avec Novartis, PRIMADEX® (Dexmedetomidine) avec Abbot. Toutes ces spécialités sont maintenues sous licence sauf DEPRENYL® désormais commercialisé par Orion Pharma France. Et lors des deux prochaines années Orion Pharma France compte commercialiser sept spécialités pharmaceutiques sur quatre marchés stratégiques que sont l'asthme, la ménopause, la cancérologie et l'insuffisance cardiaque. D'après un article du mensuel Actualités Pharmaceutiques N°382 de janvier 2000 à la page 12.
Fabricant du VIAGRA®, le groupe pharmaceutique Pfizer a annoncé par l'intermédiaire de son directeur médical américain, effectuer des recherche sur la molécule du VIAGRA® sur les femmes. L'objectif est de stimuler leur libido, mais le Docteur Michael SWEENEY a toutefois précisé qu'il faudrait encore 3 ou 4 ans pour qu'un médicament arrive sur le marché. D'après un article du quotidien La Tribune N°24.465-1.768 du Mercredi 27 Octobre 1999, à la page 14.
PHARMYGIENE MEDIPOLE ET OMEGA PHARMA
Pharmygiène Médipole vient d'être racheté par le groupe belge Oméga Pharma. Spécialisé dans l'OTC, Oméga Pharma ambitionne ainsi de devenir le numéro un du marché OTC en France.
Les groupes pharmaceutiques Pierre FABRE et BioMérieux Alliance ont annoncé leur prochaine fusion escomptée au 1er Janvier 2001. Soucieux d'échapper à des opérations de croissances externes réalisées par des grands groupes pharmaceutiques étrangers, les deux groupes ont préféré fusionner pour assurer leur pérennité. La société réalisera 55% de son chiffre d'affaire à l'étranger. Elle aura quatre domaines de prédilections avec la pharmacie, le diagnostic clinique, l'immunothérapie et la dermo-cosmétique. Le groupe devrait également garder l'activité homéopathique avec DOLISOS et une participation de 40% dans le capital du groupe Transgène. D'après un article de Pascal POGAM à lire dans le quotidien La Tribune N°24.465-1.995 du Jeudi 21 Septembre 2000 à la page 16.
Rhodia et Deguss-Hüls vont créer sur le site de Rhodia
en Isère, une unité de production de silice pyrogénée. Deguss-Hüls,
leader mondial de la production de silice pyrogénée est en charge de la
production de l'usine. Rhodia, utilisateur de silice pyrogénée pour la
fabrication de silicone, disposera ainsi du matériau au meilleur coût. D'une
capacité de plusieurs milliers de tonnes, l'unité sera opérationnelle en
2002. Une vingtaine d'emplois devrait être créés à cette occasion.. D'après
un article à lire à la page 15 dans le quotidien La Tribune n°24.465-1.853
du Vendredi 25 Février 2000.
Rhodia Eco Services Korea, filiale de Rhodia et Onyx, filiale
de Vivendi Environnement se sont alliés dans le traitement des déchets industriels spéciaux
en Corée. Onyx va prendre une participation de 50% dans le capital d'Eco Services Korea
(20 millions de dollars de chiffre d'affaire)
détenue jusqu'à présent par Rhodia Eco Services Korea. Suite au durcissement de la
réglementation, le marché offrirait un fort potentiel de
croissance. D'après un article du quotidien La Tribune N°24.465-1.850 du
Vendredi 12 Janvier 2001, à la page 12.
ROCHE Diagnostics et AVL Medical Instruments
Les laboratoires Roche Diagnostics ont annoncé par courrier aux L.A.B.M. la prochaine acquisition de la division AVL Medical Instruments. En effet Roche a signé avec le groupe AVL basé en Autriche, un protocole d'accord afin d'acquérir sa division spécialisée notamment dans les analyseurs de gaz du sang et d'électrolytes. Il ne reste plus pour finaliser l'accord que l'agrément des autorités administratives. D'après une lettre signée Michel UZAN Président de roche Diagnostics datée du 19 avril 2000 à MEYLAN.
Créé en 1975 par un pharmacien René LEVAYER, Roche-Posay, actuellement filiale de l'Oréal, employant 125 personnes, avec un chiffre d'affaire d'un milliards de francs, rentre dans une année d'investissements. Placé depuis novembre 2001 sous la responsabilité de Catherine LENTGEN, le site de production va bénéficier d'un investissement de 1,4 millions de francs et de l'annonce de nouvelles embauches. D'après un article de Jean-Pierre GOURVEST à lire dans la revue Le Quotidien du Pharmacien du Lundi 15 Janvier 2001 à la page 2.
SANOFI-SYNTHELABO CEDE PORGES A MENTOR CORPORATION
Sanofi-Synthelabo vient d'annoncer la vente Porgès,
sa filiale de matériel biomédical en urologie. Figurant parmi les principaux
laboratoires pharmaceutiques français Sanofi-Synthelabo a vendu 100% de ses actions
Porgès à Mentor Corporation pour 35 millions d'euros. Disposant en France d'une unité de production à
Sarlat et d'un centre de distribution à Palaiseau, Porgès a des
filiales dans 8 pays en Europe et une au Japon.
La société fabrique une gamme complète de produits pour les besoins des chirurgiens urologues et le suivi postopératoire
avec les sondes prostatiques dispensées en officines. Le spécialiste de l'urologie a ainsi réalisé un chiffre d'affaire de
46 millions d'euros en l'an 2000.
La société pharmaceutique Mentor Corporation est américaine. Elle développe, fabrique et commercialise du matériel médical
spécialisé, tel que des implants chirurgicaux, des équipements chirurgicaux et
des fournitures médicales et chirurgicales jetables. Le siège social et les
bureaux commerciaux de la société sont situés à Santa Barbara en Californie, avec
des unités de production et de recherche dans le Minnesota, au Texas, et aux
Pays-Bas.
Une information à lire plus en avant sur le site Internet de Sanofi-Synthelabo datée du 09/02/2001.
La Société Nationale des Poudres et Explosifs (SNPE), groupe chimique français, et le mexicain Regio Empresas ont créé un joint venture pour la production et la vente en gros de vernis à ongles et de ses composants. La société commune baptisée Durlin-Cosmo, basée à Mexico visera les marchés Mexicains, de l'Amérique centrale, sauf le Guatemala, et de l'Equateur. D'après un article du quotidien La Tribune N°24.465-1.850 du Mardi 22 Février 2000, à la page 12.
La société de biotechnologies Transgène vient d'obtenir des résultats de la phase II encourageant pour la poursuite des essais cliniques d'un vaccin pour le cancer du sein. Aux vues des résultats préliminaires obtenus, la société a décidé de geler certains programmes pré-cliniques afin d'augmenter les ressources pour le développement de ce vaccin. L'enregistrement de l'AMM devrait intervenir en 2003. S'il se dit prêt à étudier des partenariat pour développer ce produit, Transgène tient à conserver les droits de commercialisation territoriaux en Europe, a annoncé Bernard GILLY directeur général de la société. D'après un article du quotidien La Tribune N°24.465-1.798 du Vendredi 10 Décembre 1999, à la page 13.
La firme française pharmaceutique URGO a inauguré les20000m² de l'usine de Chevigny en banlieue de Dijon. Leader sur la marché français des soins de plaies et de la cicatrisation URGO est désormais bien implanté en Allemagne et au Royaume-Uni. Avec un doublement des ses effectifs en 6 ans et un investissement de 37 millions d'euros dans l'outil industriel, le laboratoire pharmaceutique compte sur les officinaux pour l'aider à poursuivre sa croissance et devenir le champion européen. D'après un article à lire plus en avant dans la revue Impact Pharmacien N°148 du 9 novembre 2005, à la page 18.